Pour le Parisien, Bryand a livré son analyse de la situation : "Les organismes ne sont jamais vraiment remis à zéro entre deux saisons. Il y a un effet cumulatif, certains enchaînent depuis trois ans... C'est difficile parfois de trouver des raisons cohérentes ou de bon sens à une accumulation de blessures."
Le médecin a rappelé l'importance de la dimension psychologique : "Quand les résultats positifs sont là, tout le monde va bien en général. Le psychologique joue un grand rôle. Après une déception et lorsqu'il y a moins d'objectifs, il y a un relâchement inconscient. La préparation invisible peut être moins bonne. C'est vraiment là où peuvent survenir les blessures."