"Il faut faire le constat que Paris, après sa fin de match difficile à Nantes, n'a pas toute sa maîtrise quand il n'a pas toute son équipe. Pourtant, le PSG était en configuration 8es de finale de la C1, c'est-à-dire sans Neymar. Au-delà de l'ironie qui vise, entre autres, à chasser le mauvais sort, le PSG n'était précisément pas dans ces dispositions," a lâché le journaliste de l'Équipe dans l'édito du jour.
Avant de poursuivre : "Quand Verratti, Di Maria et Mbappé touchent le ballon, tout s'éclaire, mais on ne peut pas en dire autant de tous les autres. Ce que Lyon a puni, en un quart d'heure brillant. [...] L'imprévisibilité de tous est une menace bien plus qu'une promesse : il serait temps, quand même, qu'un 8e de finale du PSG en C1 demeure rationnel jusqu'au bout."