L'ancien latéral est resté cinq ans au PSG (1996-2001) et a décidé de partir à l'été 2001 : "J'étais avec Oscar Damiani (agent de Simone également) et le but c'était d'aller en Italie. Le deal c'était d'aller dans un club mineur pour servir de palier à un grand club là-bas. Pour montrer que j'étais revenu à un très bon niveau, pour retrouver un très bon effectif. Par chance, il y avait Cesare Prandelli, jeune coach en devenir à l'époque qui a déjà joué avec Platini à la Juventus".
"L'apprentissage du Calcio n'était pas évident mais il y avait une vraie motivation, un vrai objectif. Sauf qu'il nous manquait toutefois un grand attaquant et au bout de trois mois, le fantasque président Zamparini, à Palerme aujourd'hui, qui ne fait pas la dentelle a viré Prandelli. Et là un autre coach est arrivé, ça ne passait plus. Je sentais que l'objectif n'allait pas être atteint, je suis donc revenu en France".
Il a donc évoqué son retour en France en 2002 : "Je suis allé à Sochaux mais il y a eu une succession d'échecs personnels, c'était difficile de repartir au combat. J'envisageais même la fin de ma carrière. A cette époque, j'étais avec une fille qui habitait Châteauroux donc je suis finalement parti là-bas. Au début, je m'entraînais avec le centre de formation sans envie de reprendre. Sauf que l'équipe était bien classée et on m'a proposé avant la trêve d'intégrer l'équipe".
"Il y avait Teddy Bertin, Rabesandratana. Ça se termine donc par cette finale contre Paris, signe du destin, où on perd 1-0, match où on ne démérite pas. On avait éliminé Monaco avant, Dijon en demi-finales. En finale, on aurait pu aller en prolongation. Mais bon il y a eu ce but de Pauleta. Et puis, je n'ai pas pu marquer puisqu'il y avait mon ami Lionel Letizi en face (rires). Après, j'ai préféré arrêter et passer à autre chose".
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