"Si j'ai peur que les critiques atteignent le vestiaire ? Si ça atteint le vestiaire, ça nous resserrera. Pour moi c'est très clair. Je peux comprendre les critiques, mais on a des positions différentes. Les critiques, ce sont des supporters, des journalistes... mais je ne suis pas à la télé ou sur mon canapé," a-t-il dit dans un premier temps en conférence de presse.
"Je suis avec mon équipe, je vis chaque passe, chaque sprint avec mon équipe et on a un sentiment complètement différent après un match comme ça que devant la télé. Je peux accepter les critiques mais vous pouvez accepter aussi que l'on ait un autre sentiment. J'ai eu le sentiment que les journalistes voulaient me convaincre de leur opinion mais je n'avais pas la même car je suis une petite part de ce groupe," a ajouté le coach parisien.