Le directeur sportif du PSG a ainsi déclaré aux médias : "Que l'on ait des choses à améliorer, c'est une évidence, c'est même normal compte tenu du contexte. Il y a eu des joueurs qui sont arrivés en fin de préparation, il y a eu des changements importants. On n'est pas où on veut mais l'équipe travaille beaucoup. C'est très important."
Avant de poursuivre : "La seule chose que je n'aime pas trop, c'est la manière de juger. Il y a une manière de parler, de critiquer gratuite, c'est un peu trop. Par rapport au coach, par rapport aux grands joueurs, qui sont arrivés cette année. On sait qu'on n'est pas bien mais la manière, là, c'est un peu trop."
Le directeur sportif a surenchéri de la sorte : "Tu peux dire qu'on n'est pas bien mais ça commence à dépasser les limites, là. Dire que le coach ne comprend rien au football, qu'il est né hier... Que les grands joueurs qu'on a pris sont nuls. Il y a des gens qui ont envie de se faire beau en parlant du PSG, c'est une promotion personnelle. On ne joue pas comme on veut. Mais on a dix victoires un nul et une défaite. On a dix points d'avance."
Et pour conclure : "Qu'on ne joue pas comme on veut, OK. Mais on est sur un chemin. On ne manque jamais d'efforts. On sait renverser des scénarios. C'est la quatrième victoire à la 90e minute. Tu ne peux pas parler de Messi, de Mbappé, de Neymar, de Verratti, du coach, de Marquinhos, comme ça. Ramos aussi ? On savait que Ramos avait un problème. Vous jouez le jeu de la presse espagnole. On savait tout. On sait ce qui se passe."