"Zlatan est plus tranquille qu'il y a quelque temps. On a été coéquipiers pendant trois ans à l'Inter, et là, j'ai vu qu'il avait changé. Il semble avoir muri, sans doute parce qu'il est le joueur le plus important de ce nouveau projet ambitieux. C'est un phénomène, son physique, son élasticité incroyable, malgré son gabarit imposant, en font un joueur unique," a analysé l'ancien international argentin.
Celui qui a passé quelques jours au Camp des Loges en décembre dernier n'a toutefois pas hésité à pointer un défaut du géant Suédois : "Son grand défaut, c'est qu'il ne marque pas beaucoup de buts de la tête malgré sa grande taille."