"Nous sommes conscients de vivre un moment très délicat. Nous savons très bien que ce qui est arrivé est grave. Je le dis avec le coeur, et viendra ensuite le moment pour les deux familles (la sienne et celle de la victime) de se rencontrer. Nous sommes très tristes, cela fait partie des coups que l'on reçoit dans la vie [...] C'est une consolation pour moi, de savoir qu'il se trouve dans un endroit où les détenus sont traités équitablement. Nous sommes tous conscient que l'accident est du à une erreur, et qu'elle doit se payer, en quelque sorte. C'est la loi de la vie", a conclu dans le journal urugayen El Pais Cavani, qui envisage de louer une maison dans la région de Salto (où il a grandit) afin de rendre régulièrement visite à son père.