Dans le journal Le Parisien, l'ancien joueur du Paris-Saint-Germain a d'abord déclaré : "Avant ce match de Coupe de France au Parc, les supporteurs parisiens ont voulu casser le bus des Marseillais. Mais ils se sont trompés et sont entrés dans le nôtre ! En réalisant leur erreur, ils se sont excusés et sont redescendus chercher celui de l'OM... A cette époque, il y avait des vraies tensions entre les deux clubs. Certains croyaient que c'était la guerre," a d'abord déclaré Leroy avant de donner son avis sur l'évolution de l'ambiance dans les stades.
"Le 9 mars 2003, cela faisait quinze ans qu'on n'avait pas gagné au Vélodrome. Et on les a tapés 3-0. J'ai marqué deux fois grâce à un énorme Ronaldinho. Lui, il adorait ces ambiances tendues. C'était des matchs chauds et d'ailleurs, les gens allaient au stade pour cette électricité. Aujourd'hui, tout est aseptisé, plat, sans bruit. On ne peut plus rien dire dans un stade. C'est peut-être bien pour la sécurité. Mais qu'est ce que c'est triste," a-t-il conclu.