"L'Uruguayen, royalement servi par Di Maria, s'est emmêlé les pinceaux dans des proportions consternantes. Ce n'est pas la première fois qu'il laisse passer une grosse occasion. Mais il faut bien le dire, au crépuscule de son aventure avec Paris, ça fend le cœur," explique d'abord le journaliste du Parisien.
"El Matador s'est toujours défoncé pour son équipe, il détient le record de buts du club (195), son humilité et sa personnalité forcent le respect et l'admiration des supporters. Mais à l'évidence, son histoire parisienne est terminée. Cavani, arrivé au PSG en 2013 et en fin de contrat en juin, tournera définitivement la page dans six mois," a ajouté Laurent Perrin.
"Cet amoureux de la nature sait qu'on ne peut lutter contre le temps et qu'un jour tout le monde doit laisser sa place. La tête haute, il va attendre que la lumière rejaillisse, à Paris, Madrid (à l'Atlético) ou ailleurs," a conclut le journaliste.