"La quête parisienne est parfois étrange, un voyage tarabiscoté qui porte dans son sillage l'idée d'une malédiction qui est, aussi, une culture de la défaite. Ailleurs, ce n'est qu'un détail. Il manque toujours quelqu'un, à tout le monde. Mais cette fois, au moins, ce n'est pas Neymar, sans doute pas Mbappé, du moins pas totalement, et tant pis pour Verratti, abonnés aux cartons et aux blessures selon une tendance qui dit une nervosité et une manière de vivre," a expliqué Duluc dans l'Équipe.
Avant de rajouter : "Le PSG sait que les ambitieux ne doivent pas perdre contre l'Atalanta ; c'est une mesure du talent qui leur a été donné et du destin qu'on leur prête. Mais si l'on estime qu'un échec serait de même nature que les précédents, cela signifie qu'un succès aurait la même portée, malgré les circonstances particulières. Rien ne vaut la vie d'avant, mais cette vie-là vaut mille fois mieux que l'absence, et les nuits de Lisbonne consacreront un roi."