Sur RMC, Ménez a lâché : "En termes de connaissance du football, ce n'est pas le meilleur, ça c'est sur. Après, au niveau des rapports, c'était des ‘Bonjour, ça va bien ?' et ça n'allait pas plus loin. On joue au foot, mais le rapport humain est important quand on est presque tous les jours ensemble et qu'on veut gagner des compétitions."
Avant de rajouter : "Un mauvais président ? Mauvais, c'est un grand mot. J'ai connu Adriano Galliani et Silvio Berlusconi (AC Milan), et c'est vrai que c'est autre chose... Berlusconi, il rentrait dans le vestiaire, il rigolait avec toi... Tu n'avais même pas envie de faire d'erreurs, il imposait le respect."