"Peu importe le nom de l'entraîneur en fait, il faut que le système soit contrôlé avant que l'entraîneur puisse être nommé. C'est-à-dire que l'entraîneur qui arrive doit contrôler le système, ce qui n'a plus ou moins jamais été le cas ou peu le cas des entraîneurs qui ont été en place au PSG," explique Beye.
"À un moment donné, ça pose un problème d'autorité et de gouvernance, ce dont on a besoin aujourd'hui dans l'équilibre d'un club de très très haut niveau," ajoute-t-il sur Canal+.
"On a vu avec Luis Enrique qui a imposé ses conditions. Mais est-ce qu'aujourd'hui dans le modèle que veut construire le PSG ça correspond. Ils devront tendre vers ça parce que dans tous les très grands clubs, c'est l'entraîneur qui domine le système," a-t-il conclu.