"Quand une affaire plombe une prépa, c'est compliqué pour tout le monde. Je pense en premier à Luis Enrique qui doit se dire 'déjà ?'. Il vient d'arriver et il ne peut pas bosser. Avec ou sans Kylian, ça peut tout changer, tactiquement, financièrement," lâche Alonzo.
"J'avais connu un cas similaire avec Fiorèse, toutes proportions gardées. Ça nous plombe la prépa, puis il part et ça nous plombe la saison. Aujourd'hui, on est sur une guerre d'ego, avec deux entités vexées. Mais dans l'affaire il y a un patron, et il s'appelle Kylian Mbappé," ajoute Jérôme Alonzo.
"Il n'enfreint aucune règle. Que ce soit moral ou juste, c'est un autre débat. Jusqu'à preuve du contraire, il est dans son bon droit. Face à lui, la direction se retrouve prisonnière de ce contrat signé en mai 2022," ajoute l'ancien gardien pour le quotidien Le Parisien.
"On se dit qu'ils n'ont jamais été d'accord sur rien, en fait. Qu'il n'avait pas envie de rester, qu'il est resté pour de mauvaises raisons, et qu'on ne peut donc pas lui en vouloir de vouloir arrêter l'aventure," a-t-il conclu.