"Schneiderlin me pousse (Face à Nice en Coupe de France, NDLR). Je tombe. L'arbitre dit que c'est moi. Ensuite, Atal fait faute sur moi. Je veux jouer vite. Le mec m'en empêche en me tenant la main, je le repousse, et l'arbitre de touche dit encore que c'est moi. Pourquoi ? Ma réputation... Moi, je ne changerai jamais pour faire plaisir aux autres," a commenté l'Italien dans L'Equipe.
Tout en rajoutant ensuite : "Personne n'est parfait. Vous savez, moi, quand je rate, j'en assume la responsabilité. Je le reconnais. Pourquoi quand un arbitre rate, ne dit-il pas qu'il a raté ? J'ai joué trois matches, j'ai fait trois fautes, j'ai pris trois cartons jaunes. C'est incroyable ! Cela veut dire cent pour cent de réussite ! Bon, je me suis habitué, ici, en France, à jouer en ayant un carton jaune."