"Lorsqu'on est arrivé, il ne comptait pas. Il avait peu joué et ce qu'il montrait à l'entraînement était parfois intéressant, parfois moins," explique Franck Passi.
"On avait remarqué sa qualité de percussion, de vitesse et sa capacité à faire des allers-retours mais on ne le voyait pas marquer beaucoup de buts," ajoute-t-il pour le quotidien régional Le Parisien.
"Quand les joueurs ne jouent pas et qu'il y a un travail supplémentaire à faire, il y en a qui rechignent et d'autres pas du tout. Bradley s'est construit comme ça," commente Franck Passi.
"Après une discussion, il s'est mis dedans et lorsqu'on est parti en stage, il a tout de suite montré qu'il était capable de faire la différence," a conclu l'ancien coach.