Quand on lui demande s'il a vécu la pire période de sa carrière la saison dernière, Peguy répond par la négative : "Ce n'était pas compliqué, parce-que je savais ce que j'allais faire. Je connaissais la situation, c'était à moi de l'affronter ou de la fuir. J'ai décidé de l'affronter."
La saison 2008-2009 semble partie sur de meilleures bases : "C'est un peu convalescent, mais c'est plus costaud mentalement. Dans l'ensemble, nous sommes sur une assez bonne dynamique. On défend bien, on essaie de se projeter vers l'avant."
Sa nonchalance lui a souvent été reprochée. Il s'en défend : "On a toujours plus d'indulgence pour quelqu'un qui court partout, qui paraît toujours à la limite. Moi, je ne peux pas jouer avant-centre, tout remettre de la tête, ou déborder et centrer pendant quatre-vingt dix minutes."
Enfin, concernant le cas Le Guen, le numéro 8 parisien réclame de la tranquillité : "Sur ce sujet, ce n'est pas à moi de répondre. Il y a une organisation, une hiérarchie, un entraîneur qui fait son travail du mieux possible, il faut le laisser travailler."