D'abord, Thierry Barnerat explique l'action : "Au départ, Trossard quand il a le ballon, ses épaules sont perpendiculaires à la ligne de fond et il n'a pas d'opposition sur lui, donc il peut frapper."
Puis il critique, dans l'After Foot, la gestion du portier italien du PSG : "Et pourtant, Donnarumma est à deux mètres de sa ligne. Sur cette même situation, Courtois serait à un mètre de sa ligne pour justement ne pas ouvrir au-dessus de son épaule gauche."
Thierry Barnerat poursuit son raisonnement : "Il est trop haut, pour moi il aurait du être à un mètre de son but. Et après, quand le centre part, il ne reste plus que 6-7 mètres de trajectoire pour pouvoir agir donc ce n'est plus possible d'aller chercher le ballon."
Enfin, l'analyste conclut : "On l'a beaucoup critiqué sur cette situation, mais dans cette situation ce n'était pas possible pour lui de sortir. Il ne fallait pas qu'il y aille."