Concernant le mercato, le technicien parisien n'y va pas par quatre chemins et déclare qu'il y "pense beaucoup". Toutefois, il ne manque pas de relativiser ses propos et d'affirmer : "On ne va pas faire n'importe quoi". L'enjeu est cependant bien présent : "Une certitude, il va falloir améliorer l'équipe. Il faudra prendre un joueur qui apportera un plus. On a déjà eu des expériences malheureuses. Il faut quelqu'un qui fédère".
Kombouaré connaît la difficulté de la tâche, compte tenu des moyens financiers mis à la disposition du club : "Après, on fera en fonction des moyens qu'on aura. On pourra de toute façon frapper plus facilement à la porte de l'actionnaire si ça se passe bien lors du dernier match. Mais des joueurs de haut niveau, ça coute cher, et disponibles, ça ne court pas les rues".
Le coach a également abordé les cas de Mateja Kezman, qui est attendu à Paris le 2 janvier pour la reprise de l'entraînement, et Jérôme Rothen, malheureux en prêt aux Rangers : "Pour Kezman, le Zénith Saint-Pétersbourg décidera. Je ne suis pas décideur. Si le joueur doit revenir, il reviendra. Je ne vais pas à l'encontre des lois. Quant à Jérôme Rothen, il voulait quitter le PSG, il est toujours à ma connaissance aux Glasgow Rangers".
