Christophe Uldry, porte parole des Supras Auteuil, au micro d‘Europe 1:
«Ce sont les actes qui comptent. On ne lui demande pas d'écrire des lettres, mais de mettre de l'argent pour recruter des joueurs. Quoi qu'il dise, l'investissement de Colony n'est pas à la hauteur. Je comprends la démarche. Il essaie de calmer les tribunes du Parc qui, dans leur très grande majorité, ne souhaitent qu'une chose : que Colony dégage. Depuis qu'ils sont là, on joue le ventre mou ou la relégation. À un moment, il faut jouer son rôle d'actionnaire ou dégager. Alors je le dit clairement : Soit il change sa politique, soit il part."
Philippe Pereira, porte-parole de la tribune Boulogne sur RMC:
"Aujourd'hui, il fait cette lettre mais il l'a fait trop tard finalement. Elle arrive dans un climat très austère. Il aurait fallu que Canal + ne vende pas le club à Colony. Maintenant, il est là. Il va bien falloir que l'on fasse avec lui. L'insulter ne changera pas grand-chose. On va digérer la lettre et puis on va en discuter ensemble. Ensuite, on verra les suites à en donner."