Sur le site officiel du club, le Suédois a tout d'abord juré se mettre rapidement à l'apprentissage du français : "Bientôt, j'espère. Je suis un peu paresseux... (Sourire) Au club, il n'y a pas beaucoup de monde qui parle anglais, donc, ça m'oblige à faire toujours plus d'effort pour apprendre votre langue. [...] Je suis capable de m'exprimer dans plusieurs langues, c'est un atout. Maintenant, j'ai hâte de rajouter le français à ma panoplie de polyglotte. [...] J'ai encore tout à apprendre de la France. Avant d'arriver à Paris, je ne connaissais pas beaucoup de choses du pays et de sa capitale. Après quelques mois ici, j'ai eu un peu de temps pour découvrir les gens, l'environnement, la gastronomie... Mais mon métier ne me permet pas de me plonger profondément dans la culture du pays dans lequel j'évolue. On a trop peu de temps libre. Ma priorité est d'être moi-même et de me sentir bien au sein du club avec mes coéquipiers, le staff et toutes les personnes qui y travaillent."
Concernant des considérations plus sportives, le buteur parisien a livré ses premières impression sur la première moitié de saison de son club : "La Ligue 1 est une compétition difficile, avec un niveau athlétique élevé. [...] J'ai remporté des trophées partout où j'ai joué et je souhaite que ça continue avec Paris. Récemment, on a eu quelques difficultés dans le jeu et ça s'est ressenti dans nos résultats. Mais il y a encore beaucoup de matches à disputer, il ne faut pas s'alarmer. Quand on perd, on apprend bien plus sur nous-mêmes que lorsqu'on gagne. C'est aussi comme cela qu'un collectif progresse. J'espère juste que l'on aura bien retenu les leçons de nos échecs."