"L'année dernière, le titre était bouclé à trois ou quatre journées de la fin, alors que là, il a fallu attendre l'avant-dernière pour l'avoir. Ça fait d'autant plaisir, voire plus. J'adore regarder les scènes de joie, que ce soit sur le terrain ou dans les vestiaires. Tout dépend de la personnalité. Je dois avoir du recul. Ce sont les joueurs qui sont sur le terrain, qui gagnent les titres. Nous, on a notre petit rôle, on participe à cette victoire, mais aussi aux défaites. Il faut laisser les joueurs s'exprimer et l'entraîneur doit toujours être derrière. Ce n'est pas à lui d'être sur le devant de la scène. J'ai toujours autant de plaisir à faire ce métier-là. Je dois remercier mon staff, parce que sans son staff, un entraîneur n'est rien du tout", a commenté le coach parisien sur Canal+.