"Dans la grande République du football, les joueurs sont libres. Nous ne gérons pas, à quelques exceptions, les comptes pour une raison très simple. Ils sont d'une génération où ils savent le faire. Les Brésiliens sont très actifs sur les réseaux sociaux. Les sud-américains globalement savent très bien gérer. Un joueur comme Blaise Matuidi le fait également très bien. On se fait parfois le relais. Mais on le fait en toute transparence. Il n'y a pas dans les contrats quelque chose qui stipule qu'on doit avoir la main dessus. Après ils doivent porter haut les couleurs de la marque, avoir une attitude irréprochable... Ils sont naturellement de très bons ambassadeurs de la marque. Les followers sentent de toute manière l'authenticité. On a eu un écart, qui remontait à quatre ans, à l'époque où le joueur n'était pas professionnel. Donc très jeune," a-t-il déclaré dans un entretien accordé à French Web.