"On peut perdre un match, les supporters acceptent que le sport est fabuleux grâce à ça, c'est que le meilleur ne gagne pas tout le temps, il peut y avoir des circonstances, mais là c'est une humiliation totale ! Vous pouvez tout ajouter, mais la pression elle est aussi parfois susceptible de vous faire vous surpasser, vous donner envie d'aller au-delà. Dans un match comme celui-là, vous devez sortir du terrain à quatre pattes ! Vous avez vu les biathlètes comment ils arrivent à la fin d'une compétition ? Vous pouvez dire ils ont tout donné parce qu'ils ne sont même plus capables de rester debout. Moi je n'ai franchement pas trouvé l'énergie, l'envie, l'enthousiasme, je n'ai rien senti de tout ça du côté de l'OM, je l'ai même plutôt sentie du coté du PSG," a lancé l'ex-président du club phocéen sur les ondes de France Bleu Provence.
Avant de poursuivre : "Hier, il y avait une équipe amateur pétrifiée de peur. Je n'ai toujours pas compris le schéma de jeu de hier, j'ai juste compris qu'on a pris une belle gifle dans la gueule et que ça va être dur à cicatriser, voilà. On avait le sentiment, qu'en dehors du fait qu'ils étaient meilleurs, ils en avaient encore plus envie. La différence entre les deux équipes était totale : tactique, technique, mentale. Je n'ai rien compris à ce match. j'ai vu quelques une-deux, des appels de balles, mais si vous pouvez m'expliquez quelle était l'optique du match !"