"L'affaire PSG-Verratti-Barça a produit une curieuse situation sur laquelle il convient de réfléchir. Le joueur appartient au PSG, le Barça entend le recruter, et l'agent, comme prévu, Donato di Campli, est très en faveur de la transaction. Logique. Chaque agent qui transfère un joueur prend une belle somme d'argent au passage. Mais le PSG ne veut pas le vendre. Il ne veut pas simplement parce qu'il ne veut pas, et il a le droit. L'agent, agacé, a accusé l'émir du Qatar de faire de Verratti son prisonnier. le joueur a du sévèrement le déjuger. Les agents gagnent de l' argent grâce aux mouvements de joueurs qui leur ont confié leur carrière," a lancé Relaño dans son journal.
Avant de poursuivre : "Verratti serait peut-être mieux au Barça. Mais en vivant à Paris, avec un gros salaire, et en étant au centre d'un projet, il n'est pas un prisonnier, les propos de l'agent ne sont ni justes ni équitables. [...] Guidés par la cupidité, des agents mènent leurs joueurs sur des chemins dangereux, par rapport aux clubs, ou au Fisc. Il y a de rares et nobles exceptions. Mais ils sont souvent traités comme des marchandises qui peuvent engendrer des bénéfices. J'ai donc aimé la réponse de Verratti : Nous sommes arrivés jusqu'à ce point. Si tu ne m'emmènes pas au Barça, au moins tu ne crées pas d'histoires."