"Il est évident, une nouvelle fois, que l'utilisation de la VAR est une farce. En fait, l'arbitre est revenu sur sa propre décision puisqu'au moment de l'action, quand Gueye fait sa poussette sur Marcelo, il fait signe de jouer en montrant que c'est une faute bénigne. Et puis, il est appelé par les mickeys dans le bus - qui ont visiblement plus d'autorité qu'en Ligue 1 - et annule le penalty et le carton rouge de Courtois," explique d'abord Ménès.
"Alors évidemment, si le PSG s'était retrouvé à 1-1 et en supériorité numérique à la mi-temps, cela n'aurait pas été vraiment mérité. Mais c'est la réalité de la règle. Dans ces cas-là, on n'a qu'à remonter à la faute de Schumacher sur Battiston pour lui mettre un rouge," a également ajouté Pierre Ménès sur son blog.
"Cela n'a pas de sens et prouve juste un truc : même avec la VAR, l'UEFA trouve le moyen d'enfler régulièrement le PSG lors des gros matchs. Et elle a même fait coup double sur cette action en avantageant aussi le Real. Bref," a poursuivi Pierre Ménès.