"Aujourd'hui parce que c'est logique, tout le monde s'est rangé derrière cette décision. Il n'y a pas matière à faire autrement. En off, beaucoup de dirigeants ont du mal à accepter ce qu'il s'est passé. Mais ça ne peut pas être dit aujourd'hui parce que n'est pas audible sans avoir pour réponse qu'on veut que des gens meurent... On te balance ça dans la gueule tout le temps," a déclaré le journaliste sur RMC.
Continuant ensuite : "Maintenant, c'est comme ça, plus personne ne veut s'exprimer. Je suis un des derniers qui continue de le dire. Même si on m'insulte en disant que je veux que des gens crèvent... je continuerai à dire qu'il fallait laisser une porte ouverte. Il fallait se donner le temps, voir ce qui allait se faire à l'étranger. En off, les dirigeants chouinent à mort mais personne n'a osé parler."