"Quand je suis parti de Sao Paulo, mes amis m'avaient dit : “Ah, là-bas ça sera plus tranquille, à Paris le foot n'est pas le plus important.” Mais dans le club, c'était comme au Brésil ! Dès la première crise, les premiers moments difficiles, j'ai compris qu'à Paris tout avait plus d'impact." raconte l'ancien capitaine dans les colonnes de L'Equipe.
Le joueur estime qu'il faut du temps pour s'imposer au PSG : "Aujourd'hui, on dit que Paris est magique. C'est vrai. Mais c'est un peu fou. À la fin de la première saison, Denisot m'a demandé directement : “Ça ne s'est pas passé comme on l'espérait, on continue ou pas?” Je lui ai dit: “Pas question d'abandonner”. Et il l'a respecté. On n'a plus jamais parlé de ça et ça n'a été que du bonheur."