"Peut-on pointer les cadences du calendrier quand il s'agit de sauver une économie ? A-t-on le droit de se plaindre, face aux frayeurs du monde et à ses turpitudes, d'être fatigué ? C'est un débat que Thomas Tuchel a nourri cette semaine en contestant le calendrier. Soyons clairs : c'est un homme décent qui ne se plaignait pas de la fatigue elle-même, mais de son impact sur la performance de son équipe, sur sa construction et sur la suite d'une saison sans horizon clair", a d'abord expliqué Vincent Duluc dans un édito.
Avant de rajouter : "Le calendrier est un peu dingue, c'est vrai. Mais, s'il faut jouer, il faut entraîner. Et s'il faut entraîner sérieusement. Mais il se trouve que là, maintenant, rien qu'en ce moment, on le trouve formidable, ce calendrier. Parce qu'il nous permet de cocher de très beaux rendez-vous dans nos soirées d'automne."