"Le PSG n'a pas vraiment à se méfier de Stones, à part peut-être sur les coups de pied arrêtés. Pour moi, il faisait une bonne saison alors que j'avais été extrêmement critique envers lui ces dernières années. Depuis l'arrivée de Ruben Dias, il est redevenu un joueur sur lequel on peut compter", a expliqué dans un premier temps le consultant sur RMC Sport.
"Il a mis sur le banc de touche Laporte, qui était quand même un joueur important dans le système de Guardiola. Le problème, c'est qu'on arrive dans le money time et ces derniers temps, il fait boulettes sur boulettes. Il a un mal fou lorsque son équipe joue très, très haut, souvent même dans la moitié du camp adverse, ce qui provoque des duels en un contre un", a rajouté le champion du monde 1998.
"Et le problème de City, qui a souvent été analysé ces dernières années, ce sont des duels en un contre un qui ont mal été gérés en permanence. C'est un garçon qui a souvent des absences de quelques minutes dans un match, de quelques secondes sur une action, et les Parisiens peuvent en profiter. C'est un garçon qui a un mal fou à gérer la profondeur parce qu'il n'a pas de vitesse", a conclu Emmanuel Petit.