"Le premier sentiment, c'est la joie d'être entraîné par un tel professionnel. Son excellente carrière force le respect au tout début, mais une fois sur le terrain on ne pense plus à tout ça. Lui ou un autre coach, on est là pour donner le meilleur de nous-même sur le terrain", a d'abord expliqué Issac Karamoko lors d'un entretien pour BILLION KEYS.
Avant de conclure : "L'admiration est présente les premiers jours, mais très vite on rentre dans une relation professionnelle. C'était un coach nerveux quand ça n'allait pas, car c'est un perfectionniste. Je l'ai côtoyé en début de saison, mais par la suite je suis revenu en U17 Nationaux. Je n'ai pas pu voir son évolution sur toute une saison."