Au moment où l'entraînement était censé débuter, c'est-à-dire à 10 h, Alain Cayzac s'est adressé aux joueurs durant une trentaine de minutes. A quatre jours du fameux clásico, on pouvait s'attendre à un briefing dans les règles de l'art. Or, d'après le président, il n'en a pas été question : "Ce n'est pas une supervision ! J'ai éprouvé le besoin de leur parler, nous sommes à un tiers de la fin du championnat, il doit rester quatorze matches je crois, nous sommes engagés dans les deux coupes. J'avais envie de dire ce que je ressentais, c'était un point assez général de la situation et ça n'a rien à voir avec le match de dimanche."