Bien que la conversation, tout à fait informelle, doive être replacée dans son contexte – c'est-à-dire un contexte de déception forte–, elle en dit long sur l'état d'esprit de l'actuel président du club de la capitale : "On a besoin de tout le monde, si vous nous lâchez, on va plonger... Je vais rappeler aux joueurs qu'ils doivent se battre. Vous croyez que je suis heureux ? Si on descend en Ligue 2, je vais prendre quinze ans. Il faut des solutions, ce n'est pas facile." Se dirigeant ensuite vers son véhicule, Alain Cayzac, désabusé, se serait retourné et lâché : "Il faut peut-être changer de président..."