"Je connais les deux protagonistes de l'affaire. J'ai joué à Marseille et partagé des moments avec l'un, donc Christophe, avec qui il nous arrive de se côtoyer en dehors. Et j'ai travaillé avec l'autre, le lanceur d'alertes (Julien Fournier) que j'ai fait venir à Nice. Je connais ses méthodes, donc je ne suis pas surpris par ce qu'il s'est passé," lâche Eric Roy.
"De ce que j'ai vécu dans ma relation de travail avec le lanceur d'alertes, je ne suis pas surpris car je sais qu'il a des méthodes qui ne sont pas des méthodes correctes. Si Christophe a été en conflit avec lui, je ne suis pas surpris qu'il se retrouve au milieu d'une affaire telle qu'elle est décrite," ajoute Roy en conférence de presse.
"Je crois que si Christophe Galtier était quelqu'un de reconnu comme raciste, ça ferait bien longtemps qu'on le saurait dans le milieu. Tu ne passes pas 30 ans dans les vestiaires sans avoir une étiquette. Ça me paraît bizarre et connaissant les deux personnages, je mettrais plus un doute sur le lanceur d'alertes," a-t-il conclu.