"Le football est devenu une obligation. Il y a eu la nécessité d'en faire mon métier. Je devais devenir professionnel. J'ai six frères et sœurs. Je ne voulais pas rater la chance de vivre de ma passion et de pouvoir aider ma famille" a confié le capitaine du club francilien.
S'il est aujourd'hui reconnu pour être quelqu'un d'exemplaire et mature, le défenseur de 22 ans a reconnu qu'il était un peu plus difficile étant plus jeune : "Je ne supportais pas qu'on me dise quelque chose. Les six premiers mois ont été terribles. Le week-end, je rentrais en pleurant."
"Il m'a nommé capitaine. Je suis passé du rôle de rebelle à celui de responsable. J'ai intégré la leçon très vite", a ensuite déclaré Sakho à propos de Christian Mas, éducateur. Une aide qui a été non négligeable dans son évolution.
Pour terminer, celui qui clame son attachement à sa ville démontre ne pas avoir la tête ailleurs : "Paris. Pour l'instant, Paris", affirme-t-il lorsqu'on lui demande quel club souhaiterait-il rejoindre à l'avenir.