"Moi j'aime ce gamin. Je sais qu'il est doué. C'est l'un des plus grands attaquants que j'ai eu à coacher. Il a les qualités pour jouer à la place de Lavezzi ou Pastore. Mais je comprends Ancelotti quand il se dit que Ménez peut lui tuer son match à cause de problèmes comportementaux. Parce qu'il traîne des pieds, parce qu'il a une attitude parfois, de petit branleur. Mais je le dis affectueusement. Si j'étais là, je le lui dirais de la même manière : arrête de faire chier ton monde avec ton désarroi. Tu es un super joueur, tu gagnes bien ta vie, tu es en équipe de France. Le très haut niveau ne pardonne pas ces problèmes d'attitude" a estimé l'ancien entraîneur du Paris Saint-Germain.