"Vous savez, je n'attends rien de personne et je fais ce que je pense devoir faire, en fonction d'un certain nombre de règles. Je fais en sorte de réussir là où je m'engage. Dans le cas présent, évidemment qu'il y a une priorité qui a été donnée au côté politique par rapport à l'intérêt collectif des clubs. Ce n'est pas tellement par rapport à Marseille ou au PSG que le problème se pose, c'est par rapport à l'ensemble qui est composé d'un côté de BeIN Sports, de l'autre du PSG et puis de relations qui sont contre-nature. Je suis quelqu'un de direct. Quand il y a un certain nombre de choses qui ne me plaisent pas, je les explique. Si on m'explique le contraire, j'essaie de comprendre et d'écouter. Sur la forme, je me suis mal exprimé puisque tout le monde a compris que je voulais que Nantes dépose une réclamation (ndlr concernant la réduction de la suspension d'Ibrahimovic) alors que si j'avais voulu le faire, je l'aurais fait huit ou dix jours avant. Je n'avais même pas eu Waldemar Kita avant d'expliquer cette chose-là. Peut-être que sur la forme je n'ai pas pris la meilleure méthode pour expliquer un problème de principe applicable à toutes les autres fédérations, car ce qui est en train de se passer dans le foot peut avoir des dérives et des conséquences" a déclaré le Président Lyonnais.