"Dans les statuts de la Ligue, c'est le président qui est habilité à accepter ou refuser une proposition de conciliation. J'ai pris, néanmoins, la précaution de téléphoner à tous les membres du bureau pour demander leur avis. Onze sur douze étaient favorables à cette solution. Je l'ai donc acceptée. J'en ai rendu compte. Les attaquent dont je fais l'objet, qu'elles viennent de Jean-Michel Aulas ou d'ailleurs, m'attristent, mais n'entament en rien ma détermination lorsque je sais que je suis dans mon bon droit. Et la situation a été très exagérée par les médias", a estimé le président de la Ligue via le quotidien L'Equipe.