Edouard Cissé (milieu de terrain du Paris-SG) :
"On n'a pas trop lu la presse parce qu'on était au vert. A midi, Pierre Blayau est venu nous expliquer la situation. Il était gêné de nous apprendre cela avant un match, mais il nous a rassurés. Mais comme on jouait à 18 heures, on n'a pas trop eu le temps de gamberger. Cela fait quand même pas mal de temps que l'on se pose des questions. Mais c'est bien, on est fixé, on sait à quoi s'en tenir. Mais pour les changements, on verra aux mois de mai-juin." [Concernant Alain Cayzac] "Je sais que c'est un amoureux du club et le supporter N°1 du Paris-SG. Je le connais depuis mon arrivée en 1997, il vient souvent nous voir dans les vestiaires. Pendant les matches OM-PSG et PSG-OM, je peux vous dire qu'il est là : il est à deux doigts de mettre le maillot. Cela doit être mon 6e président depuis mon arrivée, c'est quand même pas mal. Les Américains ont bien géré l'affaire, ils ont été malins pour ce coup-là."
Guy Lacombe (entraîneur du Paris-SG) :
"C'est évident que les joueurs se posent des questions, et pas que les joueurs d'ailleurs. Le président Blayau est intervenu ce midi, c'était nécessaire. Il est venu nous rassurer. Il fallait prendre une décision rapidement pour préparer sereinement l'avenir du club. Il y aura des réunions avec les nouveaux dirigeants. Je vais moi-même voir M. Cayzac. Je sais qu'il m'apprécie et c'est réciproque. C'est quelqu'un qui aime le club. C'est une bonne chose pour tout le monde."