Cette mesure sera donc appliquée dimanche en Championnat contre Toulouse, match avancé à 15h00. "Pour un moment que j'espère provisoire, cette tribune sera vide. C'est très triste, ce n'est jamais arrivé" a déclaré mercredi Alain Cayzac. "Mais on nous aurait reproché encore plus vivement de ne rien faire. Dès qu'on fait quelque chose, c'est jugé forcément, par avance, inefficace, mais quand on ne fait rien, c'est de la faiblesse coupable" a déploré le président du PSG.
"Il s'agit d'individus qui assistent aux matches, nous sommes forcément concernés, a admis M. Cayzac. Mais le reproche qui consiste à montrer du doigt le PSG comme principal responsable des problèmes est quelque chose de malhonnête intellectuellement."
Par ailleurs, le préfet de police de Paris, qui a annoncé mardi que ce match avait été qualifié de rencontre "à hauts risques", a assuré que 1 200 policiers et gendarmes seraient mobilisés pour assurer la sécurité.