"Il y a le coeur et la raison. Le coeur, c'est Roland (Romeyer, NDLR) qui parle. On est d'accord avec lui (de ne pas jouer une finale sans supporter, NDLR). Ça paraît impossible d'envisager un match de football ou Roland-Garros en étant privés de ces notions de spectacle, de partage et de communion," a expliqué l'entraîneur de l'ASSE dans l'Équipe.
Avant de nuancer : "Après, comment on fait ? On est dans une situation où ce n'est pas seulement le sport qui est pénalisé. C'est la nation. On est obligés de porter des masques. On ne reconnaît plus nos voisins. On change de trottoir, on ne se fait plus la bise. Et on ne vit plus ? Non, il faut quand même avancer. On n'a donc pas le droit de laisser tomber la Coupe de France."