Sur Canal+, le consultant a déclaré : "Déjà, il faudrait définir ce qu'est une identité de jeu. Il y a des équipes, quand vous les regardez jouer, vous savez que c'est l'équipe de Guardiola ou de Tuchel. Au PSG, ce n'est pas le cas. Néanmoins, aujourd'hui, c'est surtout lié à l'effectif et à ses individualités."
Avant de rajouter : "Ce qui peut être compliqué par la suite, c'est la répétition de certaines attitudes : de penser qu'on peut laisser seulement six ou sept joueurs défendre, ils pourraient le payer. La réalité contre Lille, c'est qu'ils ne jouent pas pendant une heure et qu'ils accélèrent durant trente minutes. Là, c'est suffisant donc ils sont confortés dans ce qu'ils font."
Et de conclure : "Je ne dis pas que c'est de la suffisance, mais ils savent très bien qu'avec la force des individualités ils font la différence et ce, même en Ligue des Champions. Contre Leipzig, le contenu n'est pas terrible mais leurs individualités font la différence. Quand cette équipe joue de manière collective, ils sont irrésistibles. Et quand ils ne sont pas collectifs, l'équipe descend de niveau. Est-ce que leurs individualités peuvent à chaque fois les sortir de ces difficultés ? c‘est toute la question."