"Au Barça, il était plus jeune. Les impacts et les effets des coups étaient moindres. De toute façon, il était dans un collectif qui était d'un autre niveau et psychologiquement, il était plus heureux là-bas. Même s'il nous dit que tout va bien ici du côté de Paris. Comme dans la vie, au bout d'un moment tu payes l'addition," a commenté Djellit sur Europe 1.
Pour compléter : "Comme il est plus fragile, forcément, dès qu'il y a des déséquilibres, des reprises d'appui, il y a une distorsion, il y a moins de tolérance tout simplement. On ne peut pas remplacer certaines parties du corps chez Speedy, Noroto ou Midas. Tu es rattrapé par la patrouille à un moment !"