Sur son blog, le chroniqueur de l'After foot a tout d'abord vu un PSG tranquille et sur de ses forces : "Ancelotti déjà tourné vers le Camp Nou décide de faire tourner. Un milieu à 3, une défense chamboulée et Silva, Lavezzi, Lucas, Pastore absents. Dès le début, on a senti que ce PSG était concerné. Qu'il n'allait pas faire le match pré ou post LDC. Mais cette impression initiale a quand même souvent été contredite tant la maîtrise parisienne fut intermittente. [...] Sans être génial, le PSG a tout de même dégagé pas mal de confiance, de sérénité. Les moments de panique ont certes existé, mais ils ont surtout été dus à une défense en manque de repères. La « vraie » aurait assurément mieux géré certaines situations. 2 buts, une belle et courte joie, un titre qui se profile et un rendez-vous unique au Camp Nou dans 4 jours, la vie est belle à Paris..."
La situation s'est débloquée sur un but hors normes de Jérémy Ménez : "Quasi inexistant jusque-là, Menez a tout cassé sur une accélération. Un but énorme. Derrière il a fêté ça dans un genre : « Vous voyez bien que je suis un crack bande de cons. » Cher Jérémy, on sait tous, depuis longtemps que tu as des jambes de feu, mais ce n'est pas ça qui fera de toi un grand joueur. Son but restera néanmoins important au moment du bilan final."