"Une fois de plus, le gardien parisien venu d'Allemagne a commis une énorme boulette. Sur le seul ballon un peu compliqué qu'il a eu à jouer, il s'est fendu d'une faute de main qui a généré l'unique occasion de but bastiaise de la soirée. Hallucinant. Sidérant. Effrayant. Une action, une faute : 100% d'échecs pour Trapp sur ce PSG-Bastia. Un peu agacé par les questions sur le sujet, dans les minutes suivant la rencontre, Laurent Blanc a tenté de minimiser l'affaire. On connait la chanson. Trapp arrête des penalties, mais il commet par ailleurs, de Lyon à Madrid en passant par Bordeaux, des bourdes qui auraient conduit Sirigu sur la liste des transferts du mercato de janvier manu militari. On peut comprendre que Laurent Blanc soit agacé de voir ainsi son protégé, installé par lui-même en majesté dans les buts parisiens, devenir, match après match, l'hypothèque qui n'est jamais levée. La vérité, c'est qu'à quelques encablures du grand rendez-vous contre Chelsea, ce n'est pas le carton jaune de Verratti, qui est inquiétant non. Le sujet d'inquiétude, c'est Kevin Trapp. Lui, et personne d'autre," a notamment écrit le journaliste sur son blog personnel.