Même s'il ne veut pas trop l'avouer, les déclarations du nouveau président lui ont fait très plaisir : "Je suis flatté par ses propos. Je savais qu'il m'appréciait et c'est réciproque. C'est quelqu'un qui aime le club. C'est une bonne chose pour le PSG."
Il n'a cependant pas trop voulu s'avancer sur son avenir : "Je dois rencontrer M. Cayzac [mardi]. Vous comprendrez que je lui réserve la primeur de mon point de vue."
Et il reste encore très humble quand on lui demande s'il ne s'est pas senti en danger face aux noms annoncés dans certains projets de repreneurs : "C'est le siècle de l'entreprise où tout peut vite changer. J'ai fait mon boulot du mieux possible en pensant toujours à équipe et club. Ma situation importait peu."