"Sur 2019, il y a eu les deux matchs contre Manchester, et finalement c'est toujours la même histoire avec le PSG, tu joues 2, 3 ou 4 matchs par an au maximum... Donc tu ne pointes pas assez les défauts, car tu n'arrives pas à les voir," explique d'abord Daniel Riolo sur RMC.
"Quand le PSG joue un match un peu dur en Ligue 1, contre Lille ou Lyon, tu te demandes comment le PSG peut passer d'un match comme ça de routine habituelle, à un aller-retour en Coupe d'Europe avec tout ce que cela implique. Comment peut-on jouer deux niveaux au-dessus d'un coup si l'on n'est pas habitué ?" ajoute également le journaliste.
"On se demande, si dimanche, si c'est un peu plus fort que Lille, surtout en début de match, qu'est-ce qui se passe ? Tout le monde y pense, c'est obligé. On regarde les matchs du PSG en se projetant, et il ne faut pas me faire croire que les joueurs n'y pensent pas non plus : à la moindre alerte, les mecs sortent. Tout le monde ne pense qu'à ça," a-t-il conclut.